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Du lundi au vendredi de 8h à 18h
Le naturopathe ne pose aucun diagnositic médical et ne délivre aucune ordonnance. En aucun cas, il ne se subsiste à un traitement médical ou psychologique.
« Des chercheurs de l’Université de Stanford ont identifié un certain nombre de facteurs qui pourraient prédire dans quelle mesure un individu réussira à perdre du poids et à le maintenir.
Une étude de Stanford Medicine, publiée le 13 décembre 2022 dans la revue à comité de lecture Cell Reports Medicine , indique que certaines personnes réussissent mieux à perdre du poids avec des régimes faibles en gras, tandis que d’autres verront de meilleurs résultats avec des régimes faibles en glucides.
La façon dont une personne adhère à son régime alimentaire influencera la quantité de poids qu’elle perd, ainsi que les types de bactéries vivant dans son intestin, la quantité de certaines protéines que le corps fabrique et la quantité de dioxyde de carbone qu’une personne expire, selon les chercheurs. »
Cela tombe sous le sens n’est-ce pas ?
Notre microbiote n’appartient qu’à nous, une véritable emprunte digitale, or il est en grande partie responsable de notre digestion, premier point qui nous interpelle sur l’efficacité à long terme d’un régime alimentaire « copié/collé » pour tous.
Nous pouvons partir sur des bases communes mais une adaptation en fonction des réactions de votre organisme est indispensable pour un résultat sur le long terme, sinon « chassez le naturel et il revient au galop ! »
Votre façon de vivre n’est pas celle du « voisin », travail différent, réactions au stress différentes, des enfants, pas d’enfants, un partenaire ou pas, une vie à la campagne ou à la ville, etc…, etc…
Un régime adapté à chacun prend tous ces facteurs en compte car il n’est de changements dans la durée que s’ils sont adaptés à votre façon de vivre, on ne met pas des carrés dans les cercles.
Tous mes clients ne viennent pas avec le même objectif de perte, il y a votre poids réel et celui que vous voulez atteindre qui n’est pas nécessairement toujours le même car tout est perception personnelle. De plus il faut que les résultats soient atteignables et réalistes dans un temps donné. A nous de définir un objectif lors de notre première rencontre. Il sera toujours temps de l’ajuster ensemble en fonction de vos résultats c’est pour cela qu’un suivi extrêmement régulier est nécessaire. Il permet d’éviter les découragements inutiles ou, tout aussi néfaste, une perte de poids trop rapide qui ne permettrait pas une stabilisation simultanée. S’il faut plus de temps pour atteindre votre objectif, alors nous prendrons plus de temps.
– Stress
– alcool, tabac
– Excès/carence
– Sommeil
– Intolérance alimentaire
– Détox
– Mastication
– Introduire du mouvement
– Contact avec la nature
– Changer façon courses
– Apprendre l’assiette idéale
– Cru++, Frais++
– Apprendre menu appétissant
– Changer façon manger
– Se libérer sucre et encas
– Mauvaise combi alimentaire*quand manger fruit*Les huiles/les omégas
– Les coupes faim
– Comment compenser les périodes festives*les détox régulière*les massages
– Le sport ciblé
– Les semaines de cure
LES ADIPOCYTES
Sont les cellules qui jouent un rôle indispensable dans le métabolisme des lipides en assurant leur synthèse (lipogenèse), leur stockage et leur libération dans le sang (lipolyse) en fonction des besoins. Autrement dit, les cellules .de graisse. Il existe 3 types de graisses différentes : la blanche, la beige, la brune.
La blanche : ou tissu adipeux blanc (WAT) agit comme réserve énergétique, c’est elle qui en excès pose des problèmes de santé par son impact métabolique responsable de la pathogénie associée à l’obésité.
La brune : ou tissu adipeux brun (BAT) appelée ainsi car ces adipocytes (cellules de graisses) paraissent plus foncés à cause de la haute densité en mitochondries qu’elle referme.
La mitochondrie est la centrale d’énergie de nos cellules, plus il y en a dans une cellule, plus celle-ci dépense d’énergie (ou inversement).
Ce type de graisse est thermogénique : elle active le métabolisme pour obtenir de l’énergie sous forme de chaleur.
L’activation d’adipocytes bruns augmente l’oxydation d’acides gras (lipolyse).
On pensait encore récemment que ce type de graisse corporelle n’existait que chez les nouveaux nés pour mieux réguler leur température corporelle après la naissance. On sait maintenant qu’on la retrouve en plus faible quantité chez les adultes et en plus grande quantité chez les personnes minces. (Étude publiée dans la revue : Current Opinion in lipidology)
La beige, découverte récemment, est un adipocyte blanc qui se met à se comporter comme un brun car stimulé par la sécrétion d’irisine*. Dès que ce phénomène métabolique s’arrête cet adipocyte se comporte à nouveau comme un adipocyte blanc, il stocke et ne brule plus pour fabriquer de la chaleur. L’exposition au froid prolongée forme des cellules graisseuses thermogéniques beiges dans la graisse blanche d’après les chercheurs.
D’autre découverte dise que cette graisse favorise et améliore les capacités cognitives, en restaurant une bonne capacité de connexion entre neurones dans l’hippocampe, région du cerveau liée à l’apprentissage et à la mémoire (Nature Communications : https://www.nature.com/articles/s41467-021-24540-8)
Mais cette graisse diminue avec l’âge (Article Frontier in Endocrinology : https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fendo.2023.1106529/full)
L’objectif serait donc d’augmenter la quantité d’adipocytes bruns et de maximiser la transformation de graisse blanche en beige.
*L’irisine fait partie de ce qu’on appelle depuis peu les « exerkines », c’est-à-dire les cytokines sécrétées par les muscles lors des contractions. C’est molécules on un rôle majeur dans les réponses immunitaires, de l’inflammation et de la cicatrisation.
LA PERTE DE POIDS
Cette façon de se comporter des adipocytes et la diminution de certains avec l’âge explique pourquoi il devient plus difficile de perdre du poids avec le temps. Y aurait-il un changement brutal en plus avec la ménopause ? cela reste à prouver car cette diminution affecte tous les sexes. De façon globale l’INSERM souligne « que les plus âgés sont davantage en surpoids ou obèse que les plus jeunes » (Résultats publiés en février 2023).
Il serait donc intéressant de prolonger la production de graisse beige. Les chercheurs ont découvert qu’une « cascade biochimique » (une série d’action chimique » empêcherait la création de graisse beige lors du vieillissement. (Nature Communications : https://www.nature.com/articles/s41467-023-37386-z).
Mais aucune raison de se décourager, agissons plutôt au plus vite pour contrer ces effets du vieillissement.
On comprend de toutes ses recherches scientifiques, loin d’être terminées, sur cette graisse beige que deux facteurs supplémentaires peuvent nous aider pour contrer les effets du vieillissement : le froid, le mouvement.
Pour ce qui est du froid malheureusement, plus nous prenons de l’âge plus les expositions au froid devraient être prolongées pour obtenir un résultat probant, ce qui n’est pas à conseiller bien sûr, mais cependant cela nous réconcilie avec l’hivers 😊
Il nous reste le mouvement. Mais pas n’importe comment non plus.
Il faut l’adapter à vos besoins, vos capacités et vos envies tout comme les changements alimentaires nécessaires. Nous verrons cela ensemble lors de nos rendez-vous pour que les actions vers votre perte de poids soit ciblées sur vous, votre métabolisme et votre façon de vivre.
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